Je suis Eden un nouveau bachelier. Je suis brun, grand, yeux clairs et j’ai une musculature saillante. Ma petite amie Géneviève fut vierge. Malgré mes multiples tentatives pour la baiser copieusement, elle se dégonfla toujours.
Une pucelle capricieuse
Son petit minou de vierge, ses fesses charnues, ses durs nichons et son corps de rêves me firent bander à chaque fois qu’elle se mit à poil. Souvent nous nous embrassâmes avec fourgue. Je la mis à poil, je la caressai tendrement, lui arrachant de petits gémissements jouissifs.
Elle devint fiévreuse et ondula ses hanches mais, lorsque je m’apprêtai à fourrer sa chatte dégoulinant, la jeunette arrêta tout et se rhabilla promptement.
Cela me rendit furieux et je fus obliger de me branler pour assouvir ma libido. Assise sur le rebord du lit, elle me regarda me masturber. Je caressai mon superbe pénis doté d’un gland rose, mes bourses et j’accompagnai mes mouvements de gémissements excitants.
Lorsque j’enserrai ma bite mi molle dans ma main droite et j’imprimai des mouvements de vas et viens, ma longue queue banda tellement que mes nerfs se dessinèrent délicatement.
Une pucelle défoncée par son copain
Soudain, mon amant se leva, s’approcha de ma matraque noueuse et l’engouffra d’un seul coup dans sa bouche. Une main sur mes couilles, une à la base de ma queue et mon gland entre ses pettes lèvres pulpeuse, e lle me suca avec dévotion.
Sans me faire prier, je la pris en Missionnaire et je baisai sa petite chatte bien serré et bien rouge avec voracité. Geneviève accompagna ses gémissements bandants de cris et de pleures.
Sa chatte serra bien ma bite qui s’enfonça davantage dans ses entrailles à chaque aller et retour. J’envoyai mes boules s’écraser sur sa cramouille en feu pendant la baise et je pinçai fortement ses tétons annelés.
La minette enchaina orgasme après orgasme et donna des tapes au lit. Je m’agenouillai entre ses jambes écartées et je mis ses jambes autour de mes hanches. Elle plongea ses yeux de braise dans les miens, mordilla sa lèvre inférieure et se caressa les nibars.
Je saisis mon manche érectile et j’agaçai son clito bandé avec mon dur gland. Un frisson la traversa et elle eut la chair de poule. Je la baisai comme une brute pendant qu’elle pleurnichait comme une connasse.