Le vendredi après le travail, un mec invitait sa nouvelle collègue dans un bar pour faire plus ample connaissance. Assis face à face, les deux amis causaient tranquillement de tous et de rien. La jolie poupée qui avait chaud retirait son pull pour garder son débardeur transparent.
Une nana bourrée offre une gorge profonde à son collègue
Elle avait une magnifique poitrine avec des nichons excitants et pointus. Le gars qui se mettait à bander posait sa paume sur son froc pour masquer sa bandaison.
Pendant qu’il avait le regard braqué sur sa poitrine, la nénette enfilait les verres les uns après les autres jusqu’à ce qu’elle soit à moitié ivre. Elle se mettait à rire sans cesse et à raconter des cochonneries.
Son pied remontait lentement le long de la jambe de son collègue pour caresser sa queue du bout de ses orteils avant de se jeter sur lui et de l’embrasser fougueusement. Elle était chaude.
Ses mains descendaient le pantalon de son partenaire et sortait sa queue tendue que ses lèvres attrapaient. Elle le suçait profondément, tripotait ses couilles et enfonçait à tour de rôle ses doigts dans son cul.
Un mec bandé à mort châtie le cul d’une nana bourrée
Ensuite, le mec quittait son siège, la mettait à poil et plongeait son énorme queue dans son antre. Arrêtée sur une jambe, la nana avait une main autour du cou du molosse et une autre appuyée au comptoir.
Quant à lui, il lui tenait une jambe avec son bras gauche alors que de l’autre, il la maintenait en équilibre. Le mec défoncait sa chatte ruisselant à une allure fracassante à coup de bite.
Il titillait vigoureusement son clito au bord de l’explosion et pressait fortement ses seins bien fermes. La coquine chialait à pleine gorge. Elle se retirait de son étreinte, posait ses coudes sur le tabouret, cambrait ses hanches et écartait ses jambes.
Le bonhomme secouait sa grosse bite luisante puis, il enfonçait en force son gland turgescent dans son cul serré. Ensuite, il se mettait à l’enculait de toutes ses forces tout en dilatant son cul.
Après, la nana, prête à tout supporter s’allongeait sur le comptoir, le cul à l’extrémité. Le queutard toujours bandée s’arrêtait entre ses jambes qu’il écartait puis, il foudroyait son fion avec d’intenses coups de bite.